Si-mil-quat

Paris-St-Lazare, ici Paris-St-Lazare, terminus du train.

Construite en 1837, n’étant alors qu’un « embarcadère », la gare verra sa structure et son bâtiment modifiés à plusieurs reprises, jusqu’à prendre son apparence actuelle dès 1889. Elle connaîtra une grande métamorphose dans les années 2000 jusqu’à devenir le pôle multimodal et commercial que l’on connaît aujourd’hui, inauguré en 2012.

Nous voici sous la verrière de la gare St-Lazare, surplombant les 27 voies à quai, où se repose une grand-mère du chemin de fer : une rame de type Z-6400 (la 6419 si l’on veut être puriste), mise en service à partir de 1976, assurant depuis ses débuts des liaisons de banlieue au départ de la seconde gare parisienne en terme de trafic (détrônée par la Gare-du-Nord et ses 700.000 voyageurs quotidiens).

Construites à 75 exemplaires, elles ne sont aujourd’hui plus qu’une petite trentaine à circuler sur le réseau, et se cantonnent aux missions de la Ligne L du transilien, reliant Paris à Cergy-le-Haut, St-Nom-la-Bretèche, Versailles-Rive-Droite.